La guerre, l’eau et le droit

Quand on juxtapose les mots guerre et eau, on pense d’abord, la plupart du temps, aux possibles violences entre pays autour de l’usage et du partage de leurs eaux, transfrontalières ou non. Les récents événements de Damas, où plus de cinq millions d’habitants ont dû faire face à une pénurie d’eau potable délibérément provoquée par l’un ou l’autre des protagonistes de la guerre syrienne, sont là pour nous rappeler une autre réalité. Et pour nous remémorer ce qu'en disent les principes du droit humanitaire et en particulier les Conventions de Genève.

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	À Damas même, l’eau est aussi une arme de guerre Depuis le 22 décembre 2016, date à laquelle la vallée de la Barada, au nord-ouest de la capitale syrienne, est devenue un nouveau champ de bataille entre forces gouvernementales et groupes rebelles, les cinq millions et demi d’habitants de Damas doivent se contenter d’un strict minimum d’eau potable ou en sont tout simplement privés. Parce que c'est dans cette zone que se trouvent les installations hydrauliques qui approvisionnent la majorité des habitants de la ville et que celles-ci ont été semble-t-il sérieusement endommagées. "À cause des combats, ou à cause de sabotage, ou à cause des deux" dit-on à l’ONU. Lire en ligne
	Les Suisses ont consommé davantage d’eau en 2015 Après un quart de siècle qui a régulièrement vu la Suisse abaisser sa consommation d’eau, les statistiques montrent une nette inversion de la courbe en 2015. Certes l’augmentation de la consommation de 3,5% par rapport à l’année précédente s’explique principalement par la sécheresse survenue au cours du deuxième semestre. Mais il n’est pas exclu, compte tenu des changements climatiques, que ce scénario puisse se répéter dans les années à venir. Lire en ligne
	Vous avez dit "neige industrielle" ? Autour du Nouvel-An 2017, plusieurs services météorologiques et organes de presse - en Suisse, en Allemagne et dans le nord de la France notamment - se sont fait l’écho d’une neige industrielle tombée en faibles quantités et sur de petits périmètres très éloignés les uns des autres. Ce phénomène, plutôt rare, ne peut survenir que lorsque certaines conditions physiques et atmosphériques sont simultanément réunies. Comment l'expliquer ? Lire en ligne
	Peut-on calculer le bénéfice écologique des revitalisations de cours d’eau ? Depuis plusieurs années, les projets de revitalisation de cours d’eau se sont multipliés en Suisse. Les corsets de béton qui emprisonnaient les rivières sont peu à peu détruits pour laisser place à des berges capables d’accueillir toutes sortes d’espèces végétales et animales et de redonner aux eaux leur dynamisme naturel. Mais que sait-on du bénéfice écologique de ces corrections ? Peut-on quantifier leur efficacité ? Oui, répondent des scientifiques de l’Institut fédéral de recherches sur l’eau (Eawag). Lire en ligne
	Petit dico de l’eau en Suisse Édité pour la première fois en mars 2015 mais régulièrement remis à jour et complété (dernière réactualisation : janvier 2017), ce petit dictionnaire de l’eau en Suisse élaboré par aqueduc.info n’a pour seule et unique ambition que de fournir quelques points de repères sur les ressources hydriques en Suisse, leur disponibilité, leur protection, leur gestion et leur exploitation, et de replacer dans une perspective d’ensemble un certain nombre d’informations mises en ligne sur le site depuis une bonne douzaine d'années. Lire en ligne

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Édition et rédaction: Bernard Weissbrodt, Genève (Suisse)

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La Lettre

La guerre, l’eau et le droit

À Damas même, l’eau est aussi une arme de guerre

Les Suisses ont consommé davantage d’eau en 2015

Vous avez dit "neige industrielle" ?

Peut-on calculer le bénéfice écologique des revitalisations de cours d’eau ?

Petit dico de l’eau en Suisse

À Damas même,
l’eau est aussi une arme de guerre

Les Suisses ont consommé
davantage d’eau en 2015