Pour le représentant de l’Équateur, Tarsicio Granizo, les problématiques de l’eau ont été trop longtemps négligées dans les discussions intergouvernementales sur les changements climatiques alors même que ce sont précisément les ressources hydriques qui en subissent les principaux effets. La manière de gérer ces ressources est d’une importance critique dans les réponses qui doivent être apportées à ces changements.
La Coalition Eau et Climat, qui regroupe une douzaine d’ONG internationales et des instituts de recherche sur l’eau, a accueilli très favorablement cette proposition, et la considère comme un progrès significatif, compte tenu que l’eau - on l’avait bien vu à Copenhague - était jusqu’à présent l’une des grandes absentes des débats comme des documents de travail de la conférence. Selon elle, l’eau devrait être partie intégrante de la Convention sur le climat, non comme un chapitre parmi d’autres, mais comme l’un de ses principaux éléments transversaux. (Source : Water and Climate Coalition)
– Le site de la Coalition Eau et climat (en anglais)
– Sur le même thème, lire l’article aqueduc.info :
“L’eau doit figurer à l’ordre du jour de Copenhague”
(27 novembre 2009)