Ces nouvelles normes, selon Alan Bryden, secrétaire général de l’ISO, « joueront un rôle primordial en facilitant l’accès à une eau potable sans risque sanitaire et à son assainissement de base, grâce à une meilleure gouvernance à tous les niveaux. Leur publication est une première étape pour répondre à la préoccupation des Nations Unies, qui ont reconnu l’accès à l’eau comme un droit de l’homme essentiel et ont fixé des objectifs ambitieux pour augmenter l’accès aux services de l’eau potable et de l’assainissement, en particulier dans les pays en développement ».
Pour Jean-Luc Redaud, président du comite technique qui les a élaborées, l’un des principaux objectifs visé « a été d’établir des lignes directrices pour mettre en place une meilleure compréhension mutuelle des responsabilités et des tâches de toutes les parties intéressées. Ces normes devront maintenant être adaptées au contexte national ou régional. »
– ISO 24510 : Activités relatives aux services de l’eau potable et de l’assainissement – Lignes directrices pour l’évaluation et l’amélioration du service aux usagers
– ISO 24511 : Activités relatives aux services de l’eau potable et de l’assainissement – Lignes directrices pour le management des services publics de l’assainissement et pour l’évaluation des services fournis
– ISO 24512 : Activités relatives aux services de l’eau potable et de l’assainissement – Lignes directrices pour le management des services publics de l’eau potable et pour l’évaluation des services fournis.
Ces trois publications (au prix d’environ une centaine d’euros chacune) sont disponibles auprès des instituts nationaux membres de l’ISO et au Secrétariat central de l’ISO à Genève. (Source : communiqué ISO)