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La Lettre

n°158 - novembre 2021

Ces femmes autochtones qui marchent pour guérir les eaux

Depuis plusieurs années, des femmes autochtones nord-américaines multiplient régulièrement des marches pour l’eau et se relaient le long de fleuves comme le Missouri, l’Ohio, le Wisconsin et autres pour leur rendre hommage. Elles recueillent de l’eau à leur source et se relaient pour aller la reverser dans leur embouchure, parfois à des centaines de kilomètres plus loin, « dans l’espoir que les générations futures puissent bénéficier d’une eau propre et pure ».

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Eau et climat : l’appel urgent des agences de l’ONU

Deux jours avant l’ouverture à Glasgow de la Conférence sur les changements climatiques (COP26), les chefs de dix organisations spécialisées des Nations Unies ont adressé une lettre à tous les gouvernements de la planète afin qu’ils agissent de toute urgence pour faire face aux impacts du changement climatique sur les ressources en eau.

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« Nous devons prendre conscience qu’une crise de l’eau se profile »

Cette forte exhortation est le fait de Petteri Taalas, secrétaire général de l’Organisation météorologique mondiale. Le rapport que l’OMM vient de publier sur l’état actuel des services climatologiques dans le domaine de l’eau est on ne peut plus clair : si l’on veut faire face à l’augmentation des aléas hydrologiques et du stress hydrique, il est absolument nécessaire d’améliorer la surveillance et la gestion de l’eau ainsi que les systèmes d’alertes précoces de crues fluviales et de sécheresses.

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« On ne peut pas traiter l’eau comme une marchandise ou un objet de spéculation financière »

L’eau a longtemps été considérée comme un bien commun. Peut-on en faire un bien économique géré selon la logique du marché comme si elle appartenait à ceux qui n’ont reçu que le droit de l’utiliser ? Certainement pas, répond Pedro Arrojo Agudo, rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l’homme à l’eau potable et à l’assainissement.

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Quatre pays africains veulent gérer ensemble leur aquifère commun

À force d’entendre parler des guerres de l’eau, on oublie que l’eau rapproche les peuples davantage qu’elle ne les divise. C’est ainsi que quatre pays d’Afrique de l’Ouest - la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal - se sont officiellement engagés à renforcer leur coopération « pour une gestion stratégique, intégrée et concertée des ressources en eau du bassin aquifère sénégalo-mauritanien ».

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Un abécédaire
de l’eau douce

Ce n’est ni un lexique concis, ni un glossaire savant, encore moins un dictionnaire exhaustif. C’est l’ébauche - provisoire, non exhaustive, perfectible - d’un recueil personnel de mots qui parlent d’eau (douce). Entre définitions, descriptions et brèves explications, ce qui ressemble davantage à un carnet de notes s’est enrichi au fil des besoins rédactionnels du site aqueduc.info et de la nécessité d’en vérifier la terminologie. Sous une forme à la fois alphabétique et thématique, il y est principalement question de l’eau dans la nature et dans le cycle de la vie, de sa protection et de sa gestion, de ses usages et des techniques qui leur sont associées.

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Édition et rédaction: Bernard Weissbrodt, Genève (Suisse)

Creative Commons BY - NC aqueduc.info

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