L’Année polaire internationale (API) est lancée alors qu’il y existe d’abondantes preuves de changements climatiques qui auront des effets sur l’ensemble de la planète. Les variations de chutes de neige et le retrait des glaciers affecteront les millions de personnes dont l’utilisation quotidienne de l’eau, pour leur propre consommation ou pour l’agriculture, dépend de la couverture de neige et des sources glaciaires. Les changements affectant les glaces de mer associés à l’augmentation des apports en eau douce des rivières se traduiront par d’importantes modifications au niveau de la circulation des océans. Les recherches scientifiques qui seront menées pendant ces deux ans porteront sur un large éventail de questions physiques, biologiques et sociales.
Accueil › Infos › On en parle
1er mars 2007.

Ouverture de l’Année polaire internationale
C’est à Paris, le 1er mars, que s’est déroulée la cérémonie (...)
C’est à Paris, le 1er mars, que s’est déroulée la cérémonie officielle d’ouverture de 2007-2008. Cet événement - coordonné par le Conseil international pour la science (CIUS) et l’Année polaire internationale l’Organisation météorologique mondiale (OMM) – consiste en un vaste programme scientifique centré sur l’Arctique et l’Antarctique et auquel participeront plusieurs milliers de chercheurs de plus de 60 pays. Cette Année – dont c’est la quatrième édition - s’étendra en fait sur deux cycles annuels complets, de mars 2007 à mars 2009 de manière à couvrir correctement et équitablement les deux pôles.
Navigation
A voir également
-
Les glaciers suisses n’ont jamais fondu aussi vite qu’en 2022
-
« Eaux suisses » :
un état des lieux
-
Les ressources en eau pourraient pâtir des nouvelles pratiques contre le changement climatique
-
Un drone pour surveiller la qualité de l’eau
-
Faut-il gérer l’eau autrement ?
-
Plus de 200 barrages de rivières ont été démolis en 2021 en Europe
-
Pourquoi et comment recycler les eaux usées à la source ?
-
L’irrigation traditionnelle en Europe en quête de reconnaissance par l’UNESCO
-
Des scientifiques révisent à la baisse les stocks d’eau glaciaire de la planète
-
Un guide pratique pour protéger et valoriser les sources
Mots-clés
- 332/773 Accès à l’eau
- 155/773 Action humanitaire
- 507/773 Afrique
- 310/773 Agriculture
- 97/773 Amérique latine
- 231/773 Aqua Pro
- 240/773 Asie
- 382/773 Assainissement
- 185/773 Bassin versant
- 207/773 Bisses
- 491/773 Changements climatiques
- 109/773 Collectivités locales
- 129/773 Conflits
- 295/773 Coopération
- 481/773 Cours d’eau
- 545/773 Culture
- 278/773 Dangers
- 387/773 Développement durable
- 433/773 Droit à l’eau
- 599/773 Eau potable
- 606/773 Eaux en bouteilles
- 168/773 Eaux souterraines
- 81/773 Ecosystèmes
- 104/773 Education
- 100/773 Empreinte eau
- 188/773 Environnement
- 728/773 Gestion de l’eau
- 493/773 Glaciers
- 169/773 Gouvernance
- 689/773 Hydroélectricité - barrages - énergie
- 594/773 Lac Léman
- 284/773 Législations
- 178/773 Marché de l’eau
- 120/773 Mémoires du Rhône
- 187/773 Micropolluants
- 275/773 Montagne et eau
- 224/773 Nations Unies
- 399/773 Patrimoine
- 773/773 Pollution
- 187/773 Prix de l’eau
- 164/773 Proche-Orient
- 310/773 Public/Privé
- 230/773 Qualité de l’eau
- 136/773 Renaturation
- 328/773 Ressources
- 700/773 Rhône
- 226/773 Robinet
- 214/773 Santé
- 328/773 Sciences & Techniques
- 252/773 Sécheresse
- 223/773 Zones humides
Glossaire
-
Interconnexion
Pour assurer la continuité de l’approvisionnement de la population en eau potable de la meilleure qualité possible et en quantité suffisante, un distributeur doit disposer d’une ou plusieurs interconnexions de secours avec un ou plusieurs réseaux de distributeurs voisins. C’est l’une des solutions qui permet de garantir en permanence la sécurité d’une exploitation en cas d’accident ou en période de crise.
Mot d’eau
-
Jamais la même eau
« Le cours de la rivière qui va jamais ne tarit, et pourtant ce n’est jamais la même eau. L’écume qui flotte sur les eaux dormantes tantôt se dissout, tantôt se reforme, et il n’est d’exemple que longtemps elle ait duré. Pareillement advient-il des hommes et des demeures qui sont en ce monde. » (Kamo no Chōmei, poète japonais, 1155-1216, "Hōjōki")