Le gel de l’accord serait dû avant tout au contexte économique qui fait qu’une telle opération ne serait pas « rentable ». En effet, l’augmentation du coût du baril de pétrole, et donc de l’essence, ainsi que la privatisation des installations de traitement de l’eau de la Manavgat ont fait grimper les prix, annulant ainsi la viabilité de la transaction. (Source :israelvalley.com)
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1er mai 2006.
Israël et la Turquie suspendent leur projet d’acheminement d’eau
L’acheminement par d’énormes camion-citernes de 50 millions de (...)
L’acheminement par d’énormes camion-citernes de 50 millions de mètres cubes d’eau de la rivière turque Manavgat vers Israël n’est plus à l’ordre du jour. Les deux gouvernements ont fait savoir que l’interruption de l’accord n’a aucun fondement politique et ont réaffirmé leur bonne entente. Le projet est renvoyé à des jours meilleurs.
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Pour assurer la continuité de l’approvisionnement de la population en eau potable de la meilleure qualité possible et en quantité suffisante, un distributeur doit disposer d’une ou plusieurs interconnexions de secours avec un ou plusieurs réseaux de distributeurs voisins. C’est l’une des solutions qui permet de garantir en permanence la sécurité d’une exploitation en cas d’accident ou en période de crise.
Mot d’eau
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Jamais la même eau
« Le cours de la rivière qui va jamais ne tarit, et pourtant ce n’est jamais la même eau. L’écume qui flotte sur les eaux dormantes tantôt se dissout, tantôt se reforme, et il n’est d’exemple que longtemps elle ait duré. Pareillement advient-il des hommes et des demeures qui sont en ce monde. » (Kamo no Chōmei, poète japonais, 1155-1216, "Hōjōki")