Selon une information publiée par "Le Matin Dimanche" du 8 octobre, les micropolluants détectés, des composés organo-chlorés, seraient des substances telles que celles qui sont utilisées notamment dans les blanchisseries ou dans le nettoyage de pièces de mécanique.
Le puits incriminé est une source d’appoint qui n’est pas utilisée en continu et n’a semble-t-il servi que quelques mois depuis sa mise en service en 2005. D’une profondeur de 50 mètres, il se situe en aval de la commune, à une centaine de mètres du Rhône. Une enquête est ouverte pour savoir d’où provient la pollution.
Des solutions de rechange devront être trouvées rapidement. Les sources communales, situées à 1’500 mètres d’altitude, pourraient en effet ne pas suffire durant la saison touristique hivernale. (Source : presse romande / agences)