Cette Journée revêt cette année une importance particulière du fait que 2013 a été placée par les Nations Unies sous le label de l’Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau. D’où l’accent mis sur Les zones humides et la gestion de l’eau : sans eau, il n’y a pas de zones humides, et l’inverse est aussi vrai. Ce que le monde semble avoir oublié.
Les promoteurs de cette Journée mondiale, à savoir le Secrétariat de la Convention de Ramsar et le Programme hydrologique international de l’Unesco, ont donc fixé comme objectif principal de cette Journée 2013 de sensibiliser le grand public à l’interdépendance entre l’eau et les zones humides, de mettre en lumière des moyens de garantir un partage équitable de l’eau entre différents groupes d’acteurs et de faire comprendre que sans les zones humides, il n’y a pas d’eau.
Les zones humides sont une ressource de grande valeur socio-économique, culturelle et scientifique et leur disparition serait irréparable. Elles fournissent des services écosystémiques – c’est-à-dire les avantages que l’homme obtient de la nature – essentiels et agissent comme régulateurs et fournisseurs d’eau. En conséquence, la gestion de l’eau et "l’utilisation rationnelle des zones humides" sont inextricablement liées.
– En savoir plus sur la Convention de Ramsar
et sur la Journée des zones humides
