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novembre 2008.

Histoire d’eau au village de Songpèlsé (Burkina Faso)

Songpèlsé, au Burkina Faso, a désormais son château d’eau. Grâce (...)

Songpèlsé, au Burkina Faso, a désormais son château d’eau. Grâce aux femmes et à leur solidarité et leur persévérance. Images d’une installation très attendue.

Photos Bernard Béroud et Pierre-André Steffen
© IAS - Ingénieurs et Architectes Solidaires

 Lire l’article "À Songpèlsé, les femmes ont fait de l’eau toute une histoire"



Infos complémentaires

Données techniques sur le château d’eau de Songpèlsé

 Ouvrage en béton situé à quelques mètres du forage. Hauteur : 10 mètres.
 Contenance du réservoir : 20 mètres cubes. Un flotteur à contact bascule pour interrompre le pompage quand le réservoir est plein.
 8 panneaux solaires de 125 Watts, soit 1’000 Wc au total, qui permettront de pomper en moyenne quelque 14 à 16 m3 d’eau par jour selon les saisons.
 Toutes les commandes électriques (contrôle de la pompe) et hydrauliques (vannes et compteurs d’eau) sont dans le local technique protégé situé sous le réservoir.
 Cote de la pompe dans le forage : 46 mètres
 Première mise en service : 11 novembre 2008.


 Forage réalisé en 2004 et financé par l’ONG Nouvelle Planète.
 Construction du château d’eau par un entrepreneur local et installation électro-solaire conçue et réalisée en 2008 par l’Association Ingénieurs et Architectes Solidaires, l’ensemble étant financé par un don privé.
 Tous les partenaires extérieurs de ce projet sont basés en Suisse.

Mots-clés

Glossaire

  • Interconnexion

    Pour assurer la continuité de l’approvisionnement de la population en eau potable de la meilleure qualité possible et en quantité suffisante, un distributeur doit disposer d’une ou plusieurs interconnexions de secours avec un ou plusieurs réseaux de distributeurs voisins. C’est l’une des solutions qui permet de garantir en permanence la sécurité d’une exploitation en cas d’accident ou en période de crise.

Mot d’eau

  • Jamais la même eau

    « Le cours de la rivière qui va jamais ne tarit, et pourtant ce n’est jamais la même eau. L’écume qui flotte sur les eaux dormantes tantôt se dissout, tantôt se reforme, et il n’est d’exemple que longtemps elle ait duré. Pareillement advient-il des hommes et des demeures qui sont en ce monde. » (Kamo no Chōmei, poète japonais, 1155-1216, "Hōjōki")


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